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Une image vaut mille mots: texte 2

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  Titre: Ils habitaient où? Afin de mieux comprendre les endroits dont il sera question dans le blogue, je te soumets cette superbe carte qui est tirée de l’émission Les Bois-Francs, venir au monde: Somerset: Plessisville, Stanfold: Princeville, Halifax: Ste-Sophie d’Halifax, Chester: St-Paul de Chester, Kingsey: St-Félix de Kingsey, Blandford: St-Louis de Blandford. Arthabaska: St-Norbert d’Arthabaska, et Victoriaville. Ces cantons sont les principaux endroits d’établissement de notre lignée des Roux. Gentilly étant le lieu de résidence principale de Simon Roux et de plusieurs de ses descendants. Son fils Louis, marié à Catherine Cossette et la plupart de leurs enfants ont demeuré à St-Pierre-les-Becquets. Nicolet, sera le lieu de résidence principale de François Roux et de sa femme Marie Bourgouin et de sa belle-famille Bourgouin dit Bourguignon, nos ancêtres directs. À bientôt, MC

Sur les traces de … ou L’histoire de…. : texte 2

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  L’histoire des terres des Roux (Ils habitaient où?) « Ton arrière-arrière-grand-père, il a défriché la terre Ton arrière-grand-père, il a labouré la terre Et pis ton grand-père a rentabilisé la terre » Et je compléterai avec Pis mon oncle, il l'a vendue car il avait des allergies… Cette célèbre chanson Dégénérations/Le reel du fossé du groupe Mes Aïeux est criante de vérité pour la plupart des familles du Québec. Elle rejoint parfaitement la mienne qui s’est installée en grande partie dans le magnifique village de Saint-Norbert d’Arthabaska, dans le village de Sainte-Sophie d’Halifax, ou sinon dans la très belle région des Bois-Francs. Nos livres d’histoire nous l’enseignent, la vallée du Saint-Laurent a été le lieu principal d’installation et de développement par les premiers colons venus de France. Mon premier ancêtre, Simon Roux dit Sanschagrin, dont il sera question dans quelques articles, s’est installé à St-Pierre-les-Becquets en 1760, pour ensuite échangé sa terr...

Lu, vu, entendu: texte 1

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Cette année, j’ai écouté avec énorme intérêt une série télé magnifique dont l’objet est le développement des Bois-Francs. Elle s’intitule: Les Bois-Francs, venir au monde. Il y a 10 épisodes, d’une durée d’environ 30 minutes. Comme le site web de la télévision communautaire des Bois-Francs l’indique: « Gaëtan St-Arnaud, enseignant en histoire, nous fait découvrir les origines des Bois-Francs, des premiers occupants jusqu’à Wilfrid Laurier. » https://www.tvcbf.tv/emissions/item/les-bois-francs-venir-au-monde#HV22 C’est très bien conçu, et ça nous permet de bien comprendre la dureté des travaux à faire, la bravoure et les embûches rencontrées par les défricheurs qui ont bâti ce beau coin de pays. J’y ai appris beaucoup de choses. Je vous recommande fortement. Les épisodes sont disponibles pour visionnement à l’adresse ci-haut. Il suffit de cliquer sur le lien. À la prochaine, MC 

Chez le notaire: texte 1

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Simon Roux et sa femme Marie-Louise donnent leurs biens à leur fils Antoine. Autrefois, même sans les cellulaires ou tablettes de ce monde, certains contacts familiaux étaient immédiats. Les voisins étaient un frère, le père, un oncle, un cousin, etc. Le rang de campagne ou la rue ressemblait à un arbre généalogique vivant!  Je l’ai bien perçue en effectuant mes recherches au registre foncier du Québec et en me promenant dans les rangs de St-Norbert d’Arthabaska avec Clément Boulanger, le gentil cousin de papa.  😉 Les grands-parents vivaient aussi « dans le ménage » et le grand-père finissait ses vieux jours en aidant son fils et ses petits-fils avec les travaux de la ferme.  Les liens de famille avaient une grande importance et le sentiment d’appartenance était très fort.  On connaît l’expression « bâton de vieillesse » qui désignait au sens propre la canne qu’utilisaient les personnes âgées, et au sens figuré la personne qui prenait soin d...

J’te dis ça d’même: texte 1

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Mes recherches dans les journaux anciens du Québec. Les journaux anciens sur le site de BAnQ, ma meilleure trouvaille à ce jour: les 5 générations.  🥇   Faire de la généalogie requiert de la patience et on devient détective avec le   temps, et surtout bien fière lorsque vient le temps de partager des découvertes uniques!  Ma meilleure trouvaille à ce jour a eu lieu le 26 janvier 2018, quand j’ai trouvé dans la Presse du 18 février 1922, une photo de 5 générations de femmes avec Eléonore Tourville (arrière-grand-mère de mon grand-papa Wilfrid), de sa fille Émilie Luneau (sa grand-mère), d’Obéline Roux-Labonté (sa marraine) et de la fille et petite-fille d’Obéline Roux-Labonté: Diana Labonté-Garand et Thérèse Garand. Je me suis vite empressée de partager cette nouvelle à ma famille. Une belle émotion que de voir tous ces visages pour la première fois. Surtout que ça nous permet de remonter loin dans le temps.   Mon truc avec les recherches dans les journaux ancie...

On s’met à table: texte 1

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Les pots de beans de ma soeur Nicole Pour le premier texte de ce volet, j’avais le goût de vous faire rire un peu. Ma soeur Nicole est celle qui est le plus attachée aux objets ayant appartenu aux membres de la famille. Elle a toujours des idées pour recycler ou utiliser le tout. Dernièrement elle m’a fait bien rire avec ses pots de beans qui « traînaient dans son garage ». Faut dire qu’elle en a plusieurs! Elle a récupéré celui de notre mère Anita, celui de tante Pierrette Dufresne soeur de maman, et celui de grand-maman Annette Joyal-Dufresne, notre grand-mère maternelle. Elle a eu la bonne idée d’en faire des pots de plante, eh oui, placés tous ensemble sur la table en fer forgée fabriquée par oncle Yvon, frère de maman. En tout cas, je trouve que ça fait beau et original! Pis avec ça,    comme elle a le pouce vert, ses plantes pètent le feu  😂   😂   Cré Nicole! J’adore ma soeur  🥰  Je me considère choyée de l’avoir dans ma vie, ces lie...

Une image vaut mille mots: texte 1

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Pour le premier texte du volet « Une image vaut mille mots », je vous offre un texte sur l’ascendance. Faire de la généalogie, c’est partir à la quête de ses origines. Comme l’écrit si bien Guy Parent, un éminent généalogiste québécois: « Trouver le premier arrivant en Nouvelle-France d’un individu portant son patronyme constitue la première étape à réaliser et pour ce faire, le généalogiste doit remonter le temps, de génération en génération, aussi loin que les archives le permettent. » J’ai donc recherché mon ascendance patrilinéaire en remontant le fil de l’histoire de fils en père (et en mère). Cette généalogie patriarcale a comme la forme d’une échelle à remonter dans le temps, où chaque barreau correspond à une génération. Ce travail aura été grandement facilité, puisque ma regrettée tante Huguette Roux et mon oncle Paul-André Carrier avait mandaté l’institut Drouin pour le faire. Voici le document qu’ils ont gentiment partagé avec la famille, il y a de cela pl...